Oeuvre ludique infernale
Contexte : Commande
Lieux : Clisson, Hellfest City (44)
Année : Juillet 2025
Matériaux : Bois de chêne, Inox, acier galvanisé, caoutchouc et cordage chanvre.
Dimensions : Point culminant: 7,5m
Surface: 330 m2
Conception, Réalisation : MONsTR
Fabien Leduc, Sculpteur
Pauline Merlet , Rédactrice
Julien Barthélémy, Illustrateur
Clément Poma, Sculpteur
Nicolas Amar, Sculpteur
Fanny Robin, Architecte
Rachel Flahault, Peintre illustratrice
Gaèle Flahault, Peintre illustratrice
Emmanuel Cornaton, Certificateur (Apave)
Quentin Allard, Ingénieur structure
Jean Gérard Vede, Scieur (Scierie du vaudois)
Louis Nauthonnier, Menuisier ébéniste (Mem)
Guillaume Arneodo, Menuisier ébéniste (Mem)
Noémie Furet, Menuisière (Les Bâtisseuses)
Maxime Château, Menuisier
Ambre Mousnier, Menuisière
Manu Corbier, Dessinateur/Concepteur
Marion Cadith, Menuisière
Louise Grenier, Menuisière (Mem)
Julia Canet-Custodio, Menuisière (Mem)
Romain Bonnet, Menuisier (Mem)
Nicolas Ferré, Menuisier
Mallory Pathé Serrano, Menuisière, Nacelliste
Thomas De Broissia, Sculpteur
David Slaviero, Sculpteur
Louise Moreau, Sculptrice
Rodolphe Franconville, Dessinateur
Antoine Soulard, Serrurier (La Mutine)
Maxime Chevillotte, Serrurier (La Mutine)
Geoffroy Valadon, Peintre
Hervé Vital, Peintre
Thomas Geoffrion, Gréeur (L’hirondelle)
Déborah Renault, Gréeuse
Alex Fortin, Gréeuse
Lucile Dutreix, Gréeuse
Marie-M Perron, Gréeuse
Pierre Yves Carlot, Gréeur
Paquito Couet, Photographe
Charles Vicarini, Création lumière (Studio Vicarini)
Transport et Levage : Adekma
Céline Redureau, Administratrice
Crédits photos: Paquito Couet
Dans le cadre de son développement touristique et culturel, le site du Hellfest ouvert à l’année, souhaitait une aire de jeu pérenne à destination d’un public familial.
En s’inscrivant dans l’imaginaire originel du Métal, le festival mobilise les thématiques fondatrices de la Mort et de l’Enfer, dans une dynamique de réappropriation de mythes et légendes ancestrales.
Dans cet environnement riche et puissant , MONsTR propose une œuvre ludique et colorée, pensée en lien avec cette filiation mythologique du Hellfest tout en restant joyeuse. En installant des œuvres d’art praticables qui prennent sens par leurs interactions avec les utilisateurs, il s’agit ici de s’émanciper des conventions esthétiques traditionnelles, pour favoriser la dimension ludique, l’imaginaire et l’expérimentation.
Dans ce Pandémonium, chaque temple représente le sanctuaire d’une divinité infernale, ayant son identité, à qui l’on vient rendre hommage et dans lequel se déploie un espace de pratique ludique.





















